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Le Met rouvrira en mai 2025 ses galeries dédiées aux arts d'Afrique, des Amériques précolombiennes et d'Océanie qu’il a récemment réaménagées après plusieurs années de transformation de l'aile Michael C. Rockefeller.

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Date d'ouverture : 31 mai 2025

Cette rénovation complète, couvrant plus de 40 000 mètres carrés sur le côté sud du musée, a été conçue par Kulapat Yantrasast du cabinet WHY Architecture.

(New York, 27 septembre 2024) – Le Metropolitan Museum of Art a annoncé aujourd'hui la réouverture de l'aile Michael C. Rockefeller pour le 31 mai 2025 à la suite d’une rénovation de grande envergure. Cette aile abrite les collections des arts d'Afrique, des Amériques précolombiennes et d'Océanie, et, une fois les travaux terminés, plus de 1 800 œuvres couvrant cinq continents et des centaines de cultures y seront exposées. Ces trois grandes traditions artistiques seront présentées de manière indépendante dans une aile qui maintiendra un dialogue avec les galeries voisines. Fermées au public depuis 2021 pour rénovation, ces galeries

ont été repensées par WHY Architecture en collaboration avec Beyer Blinder Belle Architects LLP et le département de Conception du Met. Leur transformation vise à enrichir l'expérience des visiteurs avec des technologies innovantes qui permettront au musée d'exposer les objets sous un nouveau jour. Chaque galerie dédiée à une zone de collection distincte intègre des éléments de conception qui rappellent et rendent hommage aux styles architecturaux propres à chaque région.

La réinstallation des trois collections des arts d'Afrique, des Amériques précolombiennes et d'Océanie reflétera également les dernières recherches menées en collaboration avec des experts et chercheurs internationaux. Les fonctionnalités numériques et les nouveaux textes muraux offriront un meilleur contexte pour les objets exposés. Les pièces maîtresses des collections, bien connues des habitués du Met, seront mises en valeur de façon innovante

grâce à une conception inédite des galeries, qui intégrera la lumière naturelle filtrée à travers un mur de verre incliné, conçu sur mesure et à la pointe de la technologie, sur la façade sud du musée, face à Central Park. De plus, chaque collection présentera des objets inédits, notamment de nouvelles acquisitions majeures d’art historique et contemporain dans les galeries dédiées aux arts d’Afrique ; une galerie consacrée aux textiles andins précolombiens sensibles à la lumière – une première aux États-Unis ; ainsi que plusieurs nouvelles commandes d'artistes indigènes pour les galeries dédiées à l’Océanie, qui seront accompagnées d'éléments numériques proposant des perspectives contemporaines.

« La rénovation complète de l'aile Michael C. Rockefeller témoigne de l'engagement profond et de la grande expertise du Met dans la préservation et la compréhension des œuvres de sa collection. Grâce à notre approche collaborative et communautaire de la conservation de ces collections, la transformation des galeries nous permet d’encourager l’appréciation et la contextualisation de certaines des cultures les plus importantes du monde », a déclaré Max Hollein, directeur et chef de la direction Marina Kellen du Met. « L’ouverture de cette aile en 1982 avait élargi la perspective du Met sur l’histoire de l’art mondial. Cette réinvention ambitieuse et innovante reflète notre volonté perpétuelle de développer et de complexifier ces récits. Nous sommes immensément reconnaissants aux nombreux artistes, chercheurs, leaders communautaires et figures culturelles qui collaborent avec nous dans ce travail essentiel. Nous avons hâte de dévoiler ces superbes galeries aux visiteurs de New York et du monde entier au printemps. »

Kulapat Yantrasast, fondateur et directeur créatif de WHY Architecture, a déclaré : « L’aile Michael C. Rockefeller illustre parfaitement la conviction de WHY selon laquelle les musées sont de véritables lieux d’empathie. Ce sont des espaces où des visiteurs venus de tous horizons peuvent découvrir et apprécier des œuvres d’art issues de différentes cultures à travers le monde. En collaboration avec le Met, nous avons voulu mettre en lumière la diversité et la singularité de ces collections incroyablement riches, tout en créant un lieu accueillant et mémorable. La lumière naturelle et les liens visuels avec Central Park sont des éléments essentiels de cette aile réinventée, et les moments de découverte sont véritablement au cœur de notre approche de la conception des espaces d’art. Nous espérons que les visiteurs garderont en mémoire ce qu'ils y ont vécu, ainsi que l’endroit où ils l’ont vécu. »

Alisa LaGamma, conservatrice Ceil et Michael E. Pulitzer du département des Arts d'Afrique et responsable de l’aile Michael C. Rockefeller, a ajouté : « Le principal objectif de ce projet ambitieux est d’approfondir l’appréciation de la splendeur des œuvres exposées. Si la création de l’aile a d'abord affirmé la place des arts d’Afrique subsaharienne, des Amériques précolombiennes et d’Océanie au sein du plus grand musée du monde, cette nouvelle version met en avant leur autonomie et célèbre les artistes derrière ces œuvres. Les nouvelles galeries dédiées à ces trois grandes collections installées dans l'aile Michael C. Rockefeller permettent au public de les redécouvrir dans un contexte enrichi. Des biographies d’artistes aux interviews d’experts de chaque région, les œuvres sont désormais liées à des sites historiques spécifiques à travers des audioguides et des films documentaires qui font partie intégrante de l’expérience des visiteurs. »

Jhaelen Hernandez-Eli, vice-président des projets d'investissement au Met, a déclaré : « Nos bâtiments sont eux-mêmes des œuvres d'art, jouant le rôle de médiateurs entre l'environnement, nos collections et les communautés que nous accueillons. Le réaménagement de l'aile aborde des enjeux majeurs de notre époque, comme la réduction de l'empreinte carbone et l'importance des matériaux et des talents artisanaux locaux. Ce projet reflète le travail collectif et les valeurs partagées de nos architectes et ingénieurs – WHY Architecture, Beyer Blinder Belle Architects LLP, Kohler Ronan, Thornton Tomasetti et Arup – ainsi que de nos artisans locaux dirigés par AECOM Tishman. Ensemble, nous avons priorisé la création d'emplois, la formation de la main-d'œuvre, la réutilisation des matériaux et la réduction de la consommation d'énergie, tout en garantissant que l'architecture finale contribue à notre collection et inspire notre public. »

À propos de l'aile Michael C. Rockefeller

L'aile Michael C. Rockefeller du Met regroupe trois collections distinctes que sont les Arts d'Afrique, des Amériques précolombiennes et d’Océanie ; elle les présente comme des entités discrètes dans une aile imposante qui maintient le dialogue avec l'ensemble des collections du musée.

Dans les années 1950 et 1960, l'homme d'État et philanthrope américain Nelson Aldrich Rockefeller avait rassemblé une collection d'arts non occidentaux incluant les Amériques précolombiennes ainsi que des régions du monde alors absentes de la collection du musée, comme l'Afrique et l'Océanie. En 1969, il a été annoncé que cette collection serait transférée au Met sous la forme d'un nouveau département et d'une nouvelle aile. Ouverte au public en 1982, l'aile a été baptisée en hommage à Michael C. Rockefeller, le fils de Nelson Rockefeller, qui avait été profondément inspiré par les cultures et les arts du Pacifique et avait exploré de nouvelles perspectives artistiques au cours de ses voyages dans cette région. Parmi les œuvres emblématiques de l'aile figurent les étonnantes sculptures Asmat qu'il avait étudiées et collectionnées dans le sud-ouest de la Nouvelle-Guinée.

Galeries des arts d'Afrique

L'installation revisitée permettra aux visiteurs de redécouvrir la collection d'art d'Afrique subsaharienne du Met à travers environ 500 œuvres organisées pour favoriser l’exploration des grands mouvements artistiques et des traditions vivantes de l’ensemble du sous-continent. Les nouvelles galeries mettront en lumière des créations allant du Moyen Âge à nos jours, comme une figure en argile cuite du XIIe siècle, façonnée dans le delta intérieur du Niger au Mali, ou l'œuvre en fibres Bleu no. 1 (2014) d'Abdoulaye Konaté (né en 1953 à Diré, au Mali), un innovateur basé à Bamako, au Mali, qui a été grandement acclamé par la critique. Un tiers des œuvres, offertes par des donateurs pour célébrer le projet d'investissement du Met, seront présentées au public pour la première fois.

Ces galeries repensées intègrent cette extraordinaire collection dans des éléments architecturaux régionaux et rendent hommage à des repères culturels emblématiques d'Afrique, comme un plafond vertigineux surmonté d'une succession de chicanes horizontales qui suggèrent des nervures inspirées de la Grande Mosquée de Djenné au Mali, tout en soulignant les liens avec d'autres grandes traditions artistiques mondiales. Situées juste à côté des galeries d'art gréco-romain, et de sculptures et arts décoratifs européens, ces nouvelles salles mettront en valeur les anciennes traditions visuelles africaines et leurs liens historiques avec l'Europe, lesquels remontent jusqu’à la Renaissance.

La réinstallation s'appuie sur des recherches et échanges contemporains réalisés avec un réseau d’experts internationaux aux États-Unis et en Afrique subsaharienne. Une des pièces maîtresses de cette contextualisation élargie est une initiative numérique consistant en une série de films produits par la cinéaste américano-éthiopienne Sosena Solomon, en partenariat avec le World Monuments Fund (WMF), qui mettent en lumière les repères culturels distinctifs de l'Afrique. Ces films seront diffusés dans les galeries et en ligne.

Arts des Amériques précolombiennes

La réinstallation mettra en lumière environ 700 œuvres choisies pour illustrer l'héritage artistique des artistes indigènes d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale, d'Amérique du Sud et des Caraïbes avant 1600. Cette collection exceptionnelle sera présentée à une nouvelle génération de visiteurs ; elle intégrera les recherches contemporaines et enrichira ainsi la compréhension des arts ancestraux des Amériques. Les nouvelles galeries exposeront des sculptures en pierre monumentales, des pièces métalliques sophistiquées, des céramiques raffinées, ainsi que des tenues somptueuses ornées d'or, de coquillages et de pierres semi-précieuses, et des sculptures en bois délicates.

Les galeries consacrées aux arts des Amériques précolombiennes sont situées face aux collections d'art moderne et contemporain, et à côté des galeries dédiées aux arts d’Océanie. Inspirée par l'architecture des Amériques précolombiennes, la conception intègre des plateformes en pierre rappelant les monuments de la Méso-Amérique et des Andes, des places rectilignes typiques du Mexique central aux structures en U de l'architecture sacrée de la côte nord du Pérou. Parmi les points forts, une nouvelle galerie dédiée aux textiles et aux plumes présentera 3 000 ans d'innovations dans les arts de la fibre.

La nouvelle installation est le fruit de huit années de collaboration étroite avec de nombreux collègues d'Amérique latine. Les galeries rénovées reflèteront les avancées récentes dans la compréhension des artistes, de leurs matériaux, techniques, et rôles sociaux, ainsi que des liens récemment découverts entre les régions. Elles intégreront les traditions indigènes de la période vice-royale (coloniale), et bénéficieront de nouvelles perspectives sur les concepts indigènes du monde naturel ainsi que de perceptions nuancées des rôles des hommes et des femmes. Les textes indigènes — précolombiens, historiques et modernes — ont enrichi la narration curatoriale, offrant une interprétation et une appréciation plus profonde des œuvres exposées.

Joanne Pillsbury, conservatrice Andrall E. Pearson du département des Arts des Amériques précolombiennes, a déclaré : « Depuis la création du musée, la présence de ces œuvres au Met reflète les changements de perception sur la place de l'art américain précolombien dans l'histoire mondiale de l'art. Ces 30 dernières années, notre compréhension des Incas, des Mayas et d'autres grandes cultures d'Amérique latine avant le XVIe siècle a évolué de manière spectaculaire, et a même inclus l'identification d'artistes spécifiques. Ce fut un privilège de collaborer avec de nombreux chercheurs des Amériques pour redéfinir les galeries à la lumière de ces nouvelles découvertes. »

Galeries des arts d'Océanie

Les galeries réaménagées redonnent vie à la collection emblématique des arts d’Océanie du Met en présentant plus de 500 ans de créations issues de cette vaste région et encadrées par de nouvelles perspectives indigènes qui célèbrent l'ingéniosité constante des plus grands artistes visuels d'Océanie.

Elles présenteront plus de 650 œuvres exceptionnelles issues de la remarquable collection d’art d’Océanie du musée, provenant de plus de 140 cultures distinctes d’une région d’une diversité incroyable qui couvre près d’un tiers de la surface de la terre et continue de captiver l’imagination du monde entier. Parmi elles, des pièces monumentales de la grande île de Nouvelle-Guinée et des archipels qui s'étendent vers le nord, le centre et l'est du Pacifique, ainsi que des œuvres d'Australie et de l'Asie du Sud-Est insulaire, dont les communautés indigènes partagent toutes des racines communes. De nombreuses acquisitions enrichissent cette collection en élargissant considérablement la diversité des médiums et des cultures représentés. Parmi elles, des œuvres qui élargissent la narration curatoriale en recalibrant et en équilibrant l’ancienne focalisation sur l’architecture cérémonielle et les pratique rituelles des hommes, et en élargissant la collection pour y inclure le travail des femmes, en particulier des travaux de la fibre réalisés par des femmes artistes seniors d’Australie et de Nouvelle-Guinée.

Les galeries des arts d'Océanie s'organisent autour d'une nouvelle trajectoire diagonale spectaculaire qui traverse l'aile Michael C. Rockefeller. Ce parcours met en lumière les liens ancestraux et les temporalités indigènes, offrant ainsi un regard qui à la fois se plonge dans le passé lointain de l'art océanien et se penche sur ses expressions contemporaines en évolution constante. La nouvelle disposition crée des lignes de vue qui mettent en avant les interactions dynamiques entre groupes insulaires voisins, ce qui a ouvert la voie à l'innovation et la créativité dans le domaine artistique. Une installation majestueuse d'art Asmat au nord côtoie le plafond Kwoma emblématique baigné de lumière naturelle au sud. Ces éléments sont reliés par une série de galeries plus petites et intimes, conçues pour encourager l'observation et la réflexion approfondies, où les résonances visuelles renforcent les liens historiques entre les peuples de langues austronésiennes qui sont profondément unis, et non pas séparés, par l'océan. Des récits, à la fois écrits et numériques, parsèment les galeries, faisant entendre les voix indigènes et mettant en lumière les avancées récentes en matière de recherche interdisciplinaire. Ils soulignent également la créativité constante des artistes indigènes d'Océanie à travers le prisme de l'histoire mondiale, de la narration, de l'art oratoire et de la performance dans le Pacifique.

Maia Nuku, conservatrice John A. Friede et A. J. Hall du département des Arts d’Océanie, a déclaré : « La collection des arts d’Océanie du Met est exceptionnellement riche en termes d'étendue et de diversité. Cela nous offre une occasion rare de présenter des œuvres provenant de toute la région, des pièces remarquables créées au cours des 500 dernières années par les descendants des premiers voyageurs austronésiens qui se sont installés dans cette dernière région du monde lors des vagues de migration qui ont débuté il y a 3 500 à 5 000 ans. Le cadre conceptuel de nos nouvelles galeries répond directement aux dynamiques spatiales et relationnelles uniques de l'Océanie : les horizons, le dôme du ciel et les îles jaillissant d'un vaste océan qui constituent les coordonnées géographiques guidant et façonnant la vie dans ce paysage fascinant. La disposition dynamique est accentuée par des éléments architecturaux spécialement conçus pour encadrer les œuvres d'art, tant sur les plans verticaux qu'horizontaux. Cette organisation formelle des pièces maîtresses offre des repères visuels forts qui soulignent la connectivité et évoquent directement les manières distinctes dont les peuples océaniens abordent la vie et utilisent l'art pour naviguer à travers les mondes physique et spirituel. »

Crédits

Nous tenons à remercier tous ceux qui ont rendu possible la rénovation de l'aile Michael C. Rockefeller. Nous remercions notamment The Carson Family Charitable Trust, Kyveli et George Economou, Bobby Kotick, les docteurs Daniel et Marian Malcolm, Adam Lindemann et Amalia Dayan, Samuel H. et Linda M. Lindenbaum, Samuel et Gabrielle Lurie, la famille Marron, la Naddisy Foundation, la ville de New York, l’Estate of Abby M. O'Neill, Andrall E. Pearson et la famille Rappaport, l’Estate of Ruth J. Prager, Ceil et Michael E. Pulitzer, Carlos Rodríguez-Pastor et Gabriela Pérez Rocchietti, Alejandro et Charlotte Santo Domingo, et Helena et Per Skarstedt. Nous avons également bénéficié d'un soutien précieux de M. et Mme Richard Lockwood Chilton, Jr, Mariana et Raymond Herrmann, Mary R. Morgan, ainsi que de Laura G. et James J. Ross.

La programmation associée à la réouverture de l'aile Michael C. Rockefeller a été rendue possible grâce à la Ford Foundation et à l'Institute for Museum and Library Services.

La rénovation des galeries a été dirigée par Alisa LaGamma, conservatrice Ceil et Michael E. Pulitzer du département des Arts d'Afrique et responsable de l’aile Michael C. Rockefeller, et par Doris Zhao, cheffe de projet.

L'équipe des Arts d'Afrique est composée des personnes suivantes : Alisa LaGamma, conservatrice Ceil et Michael E. Pulitzer du département des Arts d’Afrique et conservatrice en charge de l'aile Michael C. Rockefeller, Jennifer Peruski, conservatrice adjointe, Sandro Capo-Chichi, associé principal de recherche, et Imani Roach, conservatrice adjointe (2021-2024).

L'équipe du département des Arts des Amériques précolombiennes est composée des personnes suivantes : Laura Filloy Nadal, conservatrice du département des Arts des Amériques précolombiennes ; Joanne Pillsbury, conservatrice Andrall E. Pearson du département des Arts des Amériques précolombiennes ; et Hugo Ikehara Tsukayama, spécialiste principal de la recherche.

L'équipe du département des Arts d'Océanie est composée des personnes suivantes : Maia Nuku, conservatrice Evelyn A. J. Hall et John A. Friede du département des Arts d'Océanie ; Sylvia Cockburn, associée principale de recherche ; et Maggie Wander, associée principale de recherche (2022-2024).

L'équipe de l'aile Michael C. Rockefeller est composée des personnes suivantes : David Rhoads, Christine Giuntini, Lauren Posada, Raychelle Osnato, Damien Marzocchi, Jessi Atwood, Matthew Noiseux, Paige Silva, Lydia Shaw.

La restauration de ces collections a été supervisée par Lisa Pilosi, restauratrice Sherman Fairchild responsable, avec les restaurateurs Dawn Kriss, Sara Levin, Amanda Chau, Katharine Fugett, Teresa Jiménez-Millas, Caitlin Mahony, Marijn Manuels, Katherine McFarlin, Nick Pedemonti, Carolyn Riccardelli, Netanya Schiff, Chantal Stein, Ahmed Tarek, Marlene Yandrisevits, et avec l'aide supplémentaire du département de Restauration des objets, ainsi que d'une équipe de préparateurs en restauration dédiée à la collection de l'aile Michael C. Rockefeller : Matthew Cumbie, Nisha Bansil, Johnny Coast, Jennifer Groch, Lindsay Rowinski, Nina Ruelle, Barbara Smith et les préparateurs Warren Bennet, Andy Estep, Jacob Goble et Frederick Sager.

L'équipe de conception du Met, supervisée par Alicia Cheng, responsable de la conception, est composée des personnes suivantes : Patrick Herron, Alexandre Viault, Tiffany Kim, Anna Rieger, Maanik Chauhan, Sarah Parke, Clint Coller, Jourdan Ferguson, Amy Nelson, avec le soutien de Rebecca Forgac.

La conception de l'aile Michael C Rockefeller a été dirigée par WHY Architecture, en collaboration avec le département de conception du Met. Le cabinet d’architecture Beyer Blinder Belle a dirigé la conception du mur en verre incliné extérieur. La construction a été dirigée par AECOM Tishman. L'équipe a collaboré avec des ingénieurs parmi lesquels Kohler Ronan, Thornton Tomasetti et Arup. Les vitrines ont été fabriquées par Goppion. Le processus de conception et de construction a été dirigé par Justin Mayer (chef de projet principal, projets d'investissement) et Mabel Taylor (cheffe de projet associée) du département des Projets d'investissement du Met, sous la supervision de Jhaelen Hernandez-Eli (vice-présidente, projets d'investissement).

À propos du Metropolitan Museum of Art

Le Metropolitan Museum of Art a été fondé en 1870 par un groupe de citoyens américains, comprenant des hommes d'affaires, des financiers, ainsi que des artistes et des penseurs influents de l'époque, qui souhaitaient établir un musée dédié à l'art et à l'éducation artistique pour le peuple américain. Aujourd'hui, le Met présente des dizaines de milliers d'objets, couvrant 5 000 ans d'art du monde entier, que chacun a la possibilité de découvrir et d'apprécier. Le musée est réparti sur deux sites emblématiques à New York : le Met Fifth Avenue et le Met Cloisters. Des millions de personnes participent également à l'expérience du Met en ligne. Depuis sa création, le Met s'efforce d'être plus qu'un simple écrin d'objets rares et magnifiques. Chaque jour, l'art prend vie dans ses galeries, à travers des expositions et des événements qui dévoilent de nouvelles idées et tissent des liens inattendus à travers les époques et les cultures.


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27 septembre 2024

Contact: Meryl Cates; Ann Bailis
Communications@metmuseum.org

Images :Aperçu des galeries des Arts d'Afrique, des Amériques précolombiennes et d'Océanie, The Metropolitan Museum of Art. Image par WHY Architecture